IPRA II

A l’image du jeu géométrique et cubique, inventé par le sculpteur et professeur d’architecture hongrois Ernö RUBIK, dont l’idée initiale était de construire un cube articulé afin d’amener ses étudiants à deviner quel était son mécanisme interne, la composition urbaine du futur IPRA II n’est pas le fruit du hasard mais la résultante d’une combinaison de fonctions qui organisent autour des principaux axes de liaisons verticales, un ensemble complexe d’exigences et de liaisons programmatiques.

Dans un mouvement intuitif d’assemblage de volume, les séquences du programme se superposent, s’emboitent et glissent les unes sur les autres pour mieux se connecter et prendre leur place autour de trois vides fédérateurs :

– le patio-jardin, central, généreux et ouvert à l’Ouest qui ordonne le fonctionnement des différents services autour de lui ;

– le vide du hall, grand espace vertical, centre de gravité du lieu, il regroupe, il fédère toute la distribution, il met en scène les flux ;

– le vide qui met à distance pour mieux protéger, c’est la cour linéaire.

Les façades, sont conçues à partir de la répétition d’une trame rigoureuse et flexible, 1,35 m.

Leurs châssis en aluminium anodisés sont de tailles diversifiées, avec ou sans allèges afin de s’adapter à la configuration ou à la fonction intérieure.

C’est à partir de ce châssis, « particule élémentaire », que se développe toute la composition des façades.

La variation apportée par les trois nuances de bronze des cadres, placés d’une manière aléatoire complète la configuration en Rubik’s.

Dans un mouvement intuitif d’assemblage de volume, les séquences du programme se superposent, s’emboîtent et glissent les unes sur les autres pour mieux se connecter.

A l’image du jeu géométrique et cubique, inventé par le sculpteur et professeur d’architecture hongrois Ernö RUBIK, dont l’idée initiale était de construire un cube articulé afin d’amener ses étudiants à deviner quel était son mécanisme interne, la composition urbaine du futur IPRA II n’est pas le fruit du hasard mais la résultante d’une combinaison de fonctions qui organisent autour des principaux axes de liaisons verticales, un ensemble complexe d’exigences et de liaisons programmatiques.

Dans un mouvement intuitif d’assemblage de volume, les séquences du programme se superposent, s’emboitent et glissent les unes sur les autres pour mieux se connecter et prendre leur place autour de trois vides fédérateurs :

– le patio-jardin, central, généreux et ouvert à l’Ouest qui ordonne le fonctionnement des différents services autour de lui ;

– le vide du hall, grand espace vertical, centre de gravité du lieu, il regroupe, il fédère toute la distribution, il met en scène les flux ;

– le vide qui met à distance pour mieux protéger, c’est la cour linéaire.

Les façades, sont conçues à partir de la répétition d’une trame rigoureuse et flexible, 1,35 m.
Leurs châssis en aluminium anodisés sont de tailles diversifiées, avec ou sans allèges afin de s’adapter à la configuration ou à la fonction intérieure.
C’est à partir de ce châssis, « particule élémentaire », que se développe toute la composition des façades.
La variation apportée par les trois nuances de bronze des cadres, placés d’une manière aléatoire complète la configuration en Rubik’s.

Concours
2014 (projet lauréat)
Surface
6 800 m²