Collège Barbara

La figure géométrique du plan est un U dont le centre est occupé par un grand préau qui distribue latéralement les classes et au dessus les programmes communs (bibliothèque et administration).

A l’ouest ont été placés aux étages le programme d’enseignement tandis qu’à l’Est ont été regroupés le pôle restauration et le gymnase.

L’aile Ouest, le long de la rue d’Amiens, est le volume principal de la composition ; c’est un édifice linéaire qui s’étire sur toute la longueur du terrain, dont le centre est occupé par la grande cour de récréation. Elle s’achève à son extrémité par les plateaux sportifs et le restaurant.

Légèrement à l’écart, derrière le gymnase, des jardins potagers pédagogiques bordent le restaurant et rappellent l’histoire maraîchère du quartier.

Afin d’éviter la dureté d’un effet « barre », le volume linéaire a été fragmenté en pavillons séparés l’un de l’autre par des interruptions du bâti qui permettent de faire entrer la lumière naturelle au cœur des circulations.

Desservi depuis le préau, situé à l’angle avec la rue d’Amiens, le hall contient un escalier monumental dont les mouvements de ces volées occupent et animent le vide de son volume. Sa lumière et ses cadrages sur le contexte proche nous fait entrevoir, comme des images volées, tantôt les jardins maraîchers, tantôt le ciel.

Afin de répondre aux différentes exigences demandées tant pour la protection solaire, l’occultation des salles ou l’intrusion, la composition des façades est marquée par une division verticale formée « d’épines » en aluminium. Cette fine structure métallique contient les châssis vitrés et masque les glissières des stores. Le métal permet d’obtenir une continuité parfaite de l’enveloppe mais ce matériaux dominant est cependant contrebalancé par des murs de gabions qui offrent une matière brute et rustique et complète la composition.

Situé dans un vaste territoire occupé anciennement par des jardins familiaux du secteur maraîcher des « Tartres », le site d’accueil du futur collège de Maurice Thorez de Stains, représente une des pièces importantes du futur développement local.

La figure géométrique du plan est un U dont le centre est occupé par un grand préau qui distribue latéralement les classes et au dessus les programmes communs (bibliothèque et administration).
A l’ouest ont été placés aux étages le programme d’enseignement tandis qu’à l’Est ont été regroupés le pôle restauration et le gymnase.

L’aile Ouest, le long de la rue d’Amiens, est le volume principal de la composition ; c’est un édifice linéaire qui s’étire sur toute la longueur du terrain, dont le centre est occupé par la grande cour de récréation. Elle s’achève à son extrémité par les plateaux sportifs et le restaurant.
Légèrement à l’écart, derrière le gymnase, des jardins potagers pédagogiques bordent le restaurant et rappellent l’histoire maraîchère du quartier.
Afin d’éviter la dureté d’un effet « barre », le volume linéaire a été fragmenté en pavillons séparés l’un de l’autre par des interruptions du bâti qui permettent de faire entrer la lumière naturelle au cœur des circulations.

Desservi depuis le préau, situé à l’angle avec la rue d’Amiens, le hall contient un escalier monumental dont les mouvements de ces volées occupent et animent le vide de son volume. Sa lumière et ses cadrages sur le contexte proche nous fait entrevoir, comme des images volées, tantôt les jardins maraîchers, tantôt le ciel.
Afin de répondre aux différentes exigences demandées tant pour la protection solaire, l’occultation des salles ou l’intrusion, la composition des façades est marquée par une division verticale formée « d’épines » en aluminium. Cette fine structure métallique contient les châssis vitrés et masque les glissières des stores. Le métal permet d’obtenir une continuité parfaite de l’enveloppe mais ce matériaux dominant est cependant contrebalancé par des murs de gabions qui offrent une matière brute et rustique et complète la composition.

Concours
2011
Client
Surface
7 150 m² - collège 700, gymnase, logements de fonction
Coût
15 M€ HT
Chef de projet
Géraldine Ribaud-Chevrey